Partout dans le monde, la transition en est marche vers des solutions et des systèmes de production durables. Nous faisons, nous aussi, grand cas de cette thématique. Nous veillons à réduire au maximum l’utilisation de combustibles fossiles dans le cadre de nos activités. En privilégiant des matériaux durables et en améliorant constamment la recyclabilité de nos produits, nous réduisons leur empreinte écologique. Une gestion environnementale efficace sur nos sites de production joue également un rôle clé dans nos efforts.
Notre objectif à l'horizon 2030 ? Réduire nos émissions directes (de scope 1) et indirectes (de scope 2) d'au moins 42 % par rapport à 2020. Nous visons également une baisse de 12,3 % des émissions provenant des matières premières et du traitement de nos produits en fin de vie (scope 3).
Nous suivons les recommandations de Science Based Targets, une initiative qui promeut les bonnes pratiques pour lutter contre le réchauffement climatique. Nous veillons ainsi à ce que nos objectifs en matière de durabilité soient ambitieux, mais aussi étayés scientifiquement.
Avec deux centrales d’énergie verte, cinq éoliennes et plus de 49 000 panneaux solaires, nous jouons résolument la carte de l’énergie durable. Et nos efforts paient. En 2020, 57 % de l’énergie que nous avons consommée était renouvelable. En 2024, ce chiffre se portait déjà à 64 %.
En savoir plus sur nos projets d’énergie verte
La plupart des modèles économiques actuels sont linéaires. Nous extrayons les matières premières du sol, nous fabriquons des produits à partir de ces matériaux, nous les utilisons et les jetons. Des pratiques qui ne sont pas sans conséquences, puisqu’elles entraînent pollution et tarissement des matières premières. Il ne doit pourtant pas nécessairement en être ainsi : dans une économie circulaire, les matières premières sont réutilisées en boucle.
C’est d’ailleurs précisément dans cette optique de circularité qu’Unilin a vu le jour. En 1960, nous avons utilisé les anas de lin (un produit résiduel de l’industrie du lin) pour fabriquer des panneaux d’aggloméré. La circularité est encore notre moteur à l’heure actuelle. Nous nous concentrons sur les matériaux renouvelables et recyclés et veillons en permanence à améliorer la recyclabilité de nos produits.
Chez Unilin, nous pensons qu'une gestion efficace des usines est essentielle pour réduire notre empreinte environnementale. Plus de la moitié de nos sites sont certifiés ISO 14001, et beaucoup répondent également aux normes Cradle to Cradle, EU Ecolabel et Nordic Swan. Cela reflète notre engagement en faveur de pratiques environnementales rigoureuses.
Plus de 80 % de notre consommation d'énergie provient d'usines certifiées ISO 50001 ou dotées de systèmes de gestion de l'énergie approuvés, ce qui garantit une utilisation efficace et responsable de l'énergie. Bien que la gestion de l'eau soit un enjeu crucial dans de nombreux secteurs, elle est moins centrale pour nous, car la plupart de nos processus de production utilisent très peu d'eau.
Depuis peu, Unilin est le fier détenteur de plusieurs certifications Cradle to Cradle® Material Health pour nombre de ses panneaux et quelques sols stratifiés. L'entreprise possède même la certification Cradle to Cradle® complète pour certaines sous-couches. En décrochant de telles certifications fiables et indépendantes, nous offrons à nos clients des informations transparentes sur la durabilité de nos produits. De quoi leur permettre de faire des choix durables en toute connaissance de cause !
Unilin est la plus grande entreprise de recyclage de bois en Belgique. Nos panneaux de particules sont déjà composés à 95 % de bois recyclé. Nous voulons désormais nous attaquer à d'autres catégories de produits. Il est temps de faire encore mieux et de recycler encore plus. L'expert en durabilité Lasse Six nous explique comment.
La construction de deux éoliennes bat son plein, à côté de l’usine d’Unilin Insulation, à Feluy (Seneffe). Dès 2022, 71 % de l’énergie qu’utilise ce site proviendra de sources renouvelables. Le projet a été officiellement inauguré par le bourgmestre Jacques Gobert, le 9 novembre, et la presse a pu visiter l’impressionnant chantier en avant-première.