Pas toutes les compétences, mais la bonne mentalité !

Louis Verhelst : de coureur cycliste professionnel à Finance Controller

Inattendu

Passer de cycliste professionnel à comptable était un choix logique pour Louis. « J'ai obtenu un bachelier en comptabilité, mais un mois après avoir commencé comme comptable, on m'a proposé un contrat pro dans le cyclisme. » L'option comptabilité est néanmoins restée ouverte, même après sa carrière cycliste. Il a ainsi posé sa candidature pour une offre d'emploi au sein du département Finance d'Unilin. « Je ne m'attendais pas à décrocher le poste, vu que j'avais très peu d'expérience. Unilin m'a tout de même choisi, sur la base de mon caractère et de ma mentalité. »

Louis a mis en avant des compétences intéressantes lors de son entretien d'embauche. « J'ai indiqué que j'avais développé d'autres aptitudes utiles au cours de ma carrière sportive : une vision large grâce à de nombreux contacts étrangers, une résistance au stress et une bonne dose de persévérance. Ces caractéristiques ont convaincu Unilin de m'engager. » Chez Unilin, l'état d'esprit et le potentiel jouent un rôle important, cela ne s'apprend pas comme certaines compétences techniques.

La bonne mentalité

Après trois ans, Louis se sentait prêt à franchir une nouvelle étape dans sa carrière. « Je voulais tenter ma chance en tant que Financial Controller. La plupart des Controllers possèdent un master, tandis que moi, j'ai un bachelier. Mais mon manager actuel m'a tout de suite rassuré : Unilin préfère engager quelqu'un ayant la bonne mentalité et les capacités requises que quelqu'un disposant du “bon” diplôme mais pas de l'attitude qu'ils cherchent. C'est agréable de savoir que, quelle que soit sa formation, on bénéficie d'opportunités chez Unilin. Nous voilà un mois et demi plus tard et le poste me plaît énormément. J'ai beaucoup de contacts avec des collègues étrangers, c'est vraiment très chouette. »

Lieselot Meersschaut (30 ans) : de podologue à Distribution Requirements Planner

Apprendre en travaillant

Mais comment est-ce possible vu que Lieselot ne connaissait rien en matière de chaîne d'approvisionnement ? « C'est vrai », dit-elle en riant, « mais lors de l'entretien, j'ai indiqué que j'étais très flexible. J'aime découvrir de nouvelles choses, je m'adapte facilement et j'apprends sur le tas. Mon enthousiasme et ma flexibilité ont séduit Unilin. »

Elle a donc commencé sans expérience avec la chaîne d'approvisionnement et les programmes qu'elle devait utiliser. « Cela m'a fait stresser », sourit-elle, « mais comme prévu, j'ai appris le métier avec l'aide de collègues et via des formations. Et cela a ses avantages, car il y a beaucoup d'éléments spécifiques à Unilin. »

Mobilité interne

Lieselot n'a pas été abandonnée à son sort. « Quand j'ai commencé, mon manager m'a consacré plusieurs jours par semaine pour m'encadrer. Mon collègue direct a également tout parcouru avec moi. » Elle a aussi suivi une formation en ligne afin de maîtriser tout le jargon, assisté à une formation produits et eu droit à une visite guidée de l'usine. « Tout cela m'a aidée à apprendre plus vite et à mieux connaître l'entreprise, naturellement. »

Trois ans plus tard, Lieselot est prête pour une nouvelle fonction chez Unilin. « Aujourd'hui, la concertation personnelle avec les collègues me manque. Plus que je ne l'aurais pensé. Quand j'en ai parlé, j'ai pu compter sur une grande compréhension. Je suis donc en train d'examiner de nouvelles opportunités au sein de l'entreprise avec les RH. J'aimerais beaucoup diriger une équipe en tant que coordinatrice. Je voudrais être une oreille attentive et veiller à ce que les gens se sentent bien. C'est chouette de voir qu'Unilin est ouvert à la mobilité interne. »